Bassins à truites enterrés

Les bassins pour accueillir les truites ont été construits en même temps que la serre.  Leur aménagement assure la sécurité des personnes, l’ombrage de l’eau et la sauvegarde des truites. Les bassins conservent naturellement une eau fraîche et assurent un bon fonctionnement aquaponique. C’est la géothermie qui prend le relais pour maintenir la température  de l’eau en dessous de 23° C en été.

Mise à jour le 14/01/2020; ajout d’un paragraphe sur les cotes

Cahier des charges

Les bassins à truites répondent au cahier des charges suivant:
– Deux bassins pour gérer les différents lots selon la taille.
– Des bassins enterrés pour bénéficier de l’effet tampon du sol sur la température de l’eau.
– Des filtres pour éliminer les particules de boue avant le transfert de l’eau vers le bac de culture.
– Un bassin tampon contenant suffisamment d’eau pour remplir le bac de culture.
– Une protection des truites contre les sauts hors bassin et les prédateurs.
– Une protection des personnes et plus particulièrement des enfants.

La gestion des cotes

Toute installation commence par définir fictivement un plan de référence parfaitement horizontal (l’équivalent de la chape dans la construction d’une maison). Le plus souvent ce plan correspond à la surface du sol, préalablement modifié pour une horizontalité parfaite, mais d’autres variantes sont possibles. Il est défini pour la cote 0. Toutes les autres cotes seront définies par rapport à ce plan repère.
Le système truites aquaponiques a été construit à partir du bac de culture avec une hauteur pratique pour travailler debout de 88 cm et une allée enterrée de 20 cm. Le haut des 25 cm de graviers est donc à la cote 68 et l’orifice de vidange à la cote 43. L’eau arrive dans les bassins à truite avec une chute d’environ 20 cm, puis s’écoule par gravité au travers des filtres vers le bassin tampon avec une chute d’eau de 10 à 60 cm selon le dgré de remplissage. Un trop plein de sécurité permet de dériver l’eau des bassins à truites vers le bassin tampon au cas où l’évacuation vers les filtres se boucherait. Les filtres sont également prévus pour déborder vers le bassin tampon en cas de colmatage.

les cotes des éléments du dispositif aquaponique pour assurer une circulation permanente de l'eau dans les bassins.
Les cotes des éléments du dispositif aquaponique pour assurer une circulation permanente de l’eau dans les bassins.

La réalisation des bassins en images

Un trou de 6 mètres cubes creusé à la main. La terre déblayée peut être utilisée pour créer la terrasse sur laquelle repose le bac à culture. Dans le cas présent elle a été épandue à proximité.
Un trou de 6 mètres cubes creusé à la main. La terre déblayée peut être utilisée pour créer la terrasse sur laquelle repose le bac à culture. Dans le cas présent elle a été épandue à proximité.
Coffrage de la semelle du mur, élevé au sud des bassins, et construit à l’intérieur de la serre. Apporte une ombre sur les bassins limitant le réchauffement de l’eau par le rayonnement direct du soleil.
Coffrage de la semelle du mur, élevé au sud des bassins, et construit à l’intérieur de la serre. Apporte une ombre sur les bassins limitant le réchauffement de l’eau par le rayonnement direct du soleil.
Les parpaings de 20 et d 10 cm prêts à poser.
Les parpaings de 20 et d 10 cm prêts à poser.
Début de la construction, directement sur le sol nivelé et sablé pour protéger la bâche qui sera posée pour l’étanchéité.
Début de la construction, directement sur le sol nivelé et sablé pour protéger la bâche qui sera posée pour l’étanchéité.
Construction terminée : deux bassins à truites de 1250 litres , un compartiment pour les filtres et un bassin tampon de 800 litres.
Construction terminée : deux bassins à truites de 1250 litres , un compartiment pour les filtres et un bassin tampon de 800 litres.
Installation des passe-parois qui seront raccordés à la bâche et assureront une circulation de l’eau entre les différents compartiments.
Installation des passe-parois qui seront raccordés à la bâche et assureront une circulation de l’eau entre les différents compartiments.
Le compartiment avec le filtre à filets et le filtre à graviers, comblé avec du sable pour limiter le réchauffement de l’eau
Le compartiment avec le filtre à filets et le filtre à graviers, comblé avec du sable pour limiter le réchauffement de l’eau
L’arrivée d’eau en provenance du bac de culture répartie sur les deux bassins à truites, avec une chute d’eau de 16 cm
L’arrivée d’eau en provenance du bac de culture répartie sur les deux bassins à truites, avec une chute d’eau de 16 cm
Pose de la bâche et remplissage avec l’eau de la nappe.
Pose de la bâche et remplissage avec l’eau de la nappe.
Les quatre compartiments sont opérationnels. On aperçoit le flotteur jaune du vide-cave immergé dans le bassin tampon.
Les quatre compartiments sont opérationnels. On aperçoit le flotteur jaune du vide-cave immergé dans le bassin tampon.
Pose des graviers pour habiller les bassins.
Pose des graviers pour habiller les bassins.
Protection de chaque bassin avec des claies.
Protection de chaque bassin avec des claies.
Installation d’un écran réfléchissant sous les claies pour lutter contre la chaleur produite par le rayonnement direct du soleil en été.
Installation d’un écran réfléchissant sous les claies pour lutter contre la chaleur produite par le rayonnement direct du soleil en été.
Installation d’un écran grillagé pour parer aux sauts des truites hors bassin, protéger les petits animaux d’une chute dans les bassins, empêcher les prélèvements par le héron et empêcher la pénétration des feuilles à l’automne.
Installation d’un écran grillagé pour parer aux sauts des truites hors bassin, protéger les petits animaux d’une chute dans les bassins, empêcher les prélèvements par le héron et empêcher la pénétration des feuilles à l’automne.
Couverture de bassin isolante et réfléchissante
Couverture de bassin isolante et réfléchissante
Vue d’ensemble des bassins terminés, avec la clôture de protection et l’adossement à la serre.
Vue d’ensemble des bassins terminés, avec la clôture de protection et l’adossement à la serre.

20 Comments

  1. Arnaud

    Bonjour Jean Claude,
    Mon projet s’affine et comme j’ai de la place et que je peux terrasser à la minipelle je vais faire des grooooos trous ! 😉 2 bassins creusés de 3m3 chacun (epdm et géotextile)de 2 m de profondeur. Question : je prévois une pompe à débit variable qui monte jusqu’à 9000l/h. comment pomper l’eau dans les 2 bassins simultanément ? on m’a parler de surverse avec un bassin plus haut que l’autre mais cela ne réponds pas à ma question. Pourriez vous m’éclairer ?

    • jcgoudeau

      Bonjour Arnaud,
      Avertissement préalable : je n’ai aucune expérience pratique en aquaponie, autre que mes deux systèmes. Ce qui va suivre est donc à prendre avec précaution!
      Si l’on met de côté le débat « marée et siphon » vs « niveau constant », il reste deux grandes familles de projets : les projets avec bassins en série et les projets avec bassins en parallèle.
      Les bassins en parallèle nécessitent soit l’utilisation d’une pompe par bassin (pas vraiment économique), soit le recours à un bassin tampon, en aval des filtres mécaniques, dans lequel sera installée l’unique pompe à eau. Cette organisation évite de faire circuler les déjections de bassin en bassin jusqu’aux filtres. Mais il faut un bassin tampon, source potentielle de transfert d’énergie thermique vers l’eau. C’est la configuration que j’ai retenue : bassin tampon enterré (au plus bas) qui envoie l’eau dans le bac de culture (au plus haut) avec écoulement gravitaire dans chaque bassin en parrallèle, puis vers les filtres via un système SLO (solid lifting overflow) plongeant jusqu’à 3 cm du fond du bassin, avant retour au bassin tampon.
      Les bassins en série permettent de se passer de bassin tampon en installant la pompe dans le dernier bassin n°2 (au plus bas) qui envoie l’eau , via le filtre pression, dans le bac de culture (au plus haut), puis écoulement gravitaire vers le bassin n°1, puis écoulement gravitaire vers le bassin n°2 avec un système SLO pour transférer les déjections du bassin 1 vers le bassin 2. Un système de surverse recueillant l’eau en surface ne permettrait pas l’évacuation des déjections. A noter qu’une option « filtres gravitaires » imposerait l’installation d’un bac tampon en aval (au plus bas).
      Remarque à toutes fins utiles : prendre le temps de poser sur papier l’architecture générale du projet. Avec la cote des niveaux d’eau par compartiment. Et surtout se projeter en fonctionnement (niveaux dynamiques) pour prévoir les hauteurs de parois à conserver pour éviter les débordements. Ne pas couper trop vite les excédents d’epdm et tester avant de finaliser!

  2. Etiembre

    bonjour,
    je viens de « tomber » sur votre site et votre expérience. c’est un vrai plaisir de vous lire.
    je me lance à mon tour dans un projet qui ressemble sous bien des aspects au votre, un système truite/aquaponie en extérieur/et sous serre le tout en auto construction. je bénéficie de conditions environnementales assez intéressantes comme une rivière contigüe au projet
    bien sur, j’ai une « tonne  » de questions mais mon souhait de récupérer et d’exploiter les matériaux présents sur site m’amène à poser la première.
    que pensez vous de l’idée d’utiliser de la vieille tuile canale concassée comme substrat des bacs de culture ?
    merci par avance mais surtout pour votre travail de « traduction » de votre projet fort stimulant pour le profane que je suis
    cordialement
    loïc

    • jcgoudeau

      Bonjour Loïc,
      Tout substrat neutre chimiquement peut convenir dans une taille comprise entre 8 et 20 mm. Donc la tuile canal concassée peut faire l’affaire si concassée dans ces limites (équivalent chimiquement des billes d’argile). Un bémol toutefois : c’est un matériau aux angles très vifs, voire tranchants, une fois concassé. Dangereux pour les mains et pour la bâche.

      • Loïc ETIEMBRE

        merci effectivement c’est un bémol qui s’entend.
        je pense m’orienter du coup sur de la pouzzolane que nous avons aussi près de chez nous
        belle journée
        loïc

  3. TACK

    Bonjour,

    Votre site est formidable : très riche en informations et en détails pertinents et utiles. Je suis passionné par la nature et le jardinage et désire débuter un système aquaponique.

    L’étude est bien avancée (sur le papier en tout cas), mais je bute sur le circuit de l’eau et particulièrement sur le passage du bassin à poissons vers les filtres. Je vais avoir une évacuation (Dia 40mm) qui partira quasiment du fond du bassin à poissons vers le 1er filtre. Si je veux être certain, que par gravité : l’eau tombe dans le filtre à filets : alors le point d’entrée de l’eau dans le filtre doit forcément être plus bas que le point d’entrée du tuyau d’évacuation du bassin à poisson. Et ainsi de suite : pour aller au prochain filtre, le point d’entrée doit être plus bas que le point d’entrée du tuyau de sortie du précédent filtre….. (schéma en escalier descendant)…. Je ne sais pas si je suis clair, mais dans votre exemple avec le plan des cotes : l’entrée du filtre à filets devrait être à -63 (entrée de l’évacuation du bassin à poisson). Sinon, comment être sur d’avoir un écoulement en continue et de façon fluide. Je m’interroge!
    Merci pour cet incroyable travail et pour tous ce que vous partagez.

    • jcgoudeau

      Merci pour vos appréciations.

      Concernant la circulation de l’eau par gravité, il faut bien comprendre que les différents tuyaux de liaison entre les bassins, filtres et bassin tampon ne fonctionnent pas par siphonnage. D’ailleurs pour en être parfaitement sûr, un trou de 10 mm est pratiqué en haut des tubes lorsqu’ils forment une crosse. Ce qui est le cas pour la liaison bassin à truites et filtre à filets. Dès lors, c’est la différence de niveau d’eau entre les deux bacs qui crée le débit. Lorsque l’eau est à la cote +16 dans le bassin à truite le débit est maximal. La différence de hauteur des colonnes d’eau crée une pression qui oblige l’eau à s’évacuer par la cane, en empruntant un passage du bas vers le haut. Lorsque l’eau arrive à la cote +8 dans le bassin à truites, le débit entre bassin à truites et filtre à filet devient nul(pas d’effet siphon).Le filtre à filet va continuer à se vider dans le filtre à graviers jusqu’à la cote +4, cote à laquelle le débit deviendra également nul. Le filtre à graviers continuera à se vider dans le bac tampon jusqu’à la cote 0. C’est la succession de ces petites marches de quelques centimètres qui permet à l’eau de circuler. Ce qui vient d’être décrit correspond à un fonctionnement avec arrêt de l’arrivée d’eau dans le bassin à truites. Cela n’arrive jamais : on observe donc une circulation permanente de l’eau.

      Si la cote +8 du filtre à filets se transformait en cote -63, ça fonctionnerait également. Mais supposons un arrêt de la pompe et un effet siphon. Alors le bassin à truites se videra en totalité dans le filtre à filet qui débordera (truites mortes et dégâts des eaux !). Il faut des dénivelés faibles pour construire un système résilient et peu gourmand en énergie. On pourrait même tout placer sur une même cote +8 et cela fonctionnerait, sous réserve de prévoir une hauteur au dessus de cette cote pour encaisser la montée de l’eau et éviter les débordements. C’est pour cela que je préfère organiser plus de fluidité en ménageant de petites différences de niveau.
      NB : le positionnement du niveau d’entrée et le niveau de sortie n’a aucun effet sur la circulation de l’eau dans ce type de dispositif. L’orifice de la cane à -63 et la cote de l’orifice de sortie dans le filtre à filet n’ont aucune importance pour la circulation de l’eau. Ce sont les différences de niveaux qui comptent mesurées à l’endroit du passe paroi, intérieur du tube. En revanche il y a un intérêt pour la fonction d’auto nettoyage en créant une aspiration au ras du fond du bassin à truites.

  4. Maxime T

    Bonjour Monsieur,

    Un grand merci pour ces explications apportées avec célérité.

    C’était bien ce que j’avais cru comprendre ; en revanche, je n’aurais jamais pensé à mettre des trous au sommet de l’évacuation pour éviter le siphonage…

    Si je comprends bien, le niveau d’eau du bassin des truites ne descend donc jamais en-dessous de +8 (niveau « supérieur » de l’évacuation) ? Système simple en apparence, mais ingénieux (comme le reste de votre dispositif, d’ailleurs).

    J’ai vu que, dans la plupart des systèmes, les aquaponistes mettent le bassin-tampon en amont des poissons, mais c’est difficilement réalisable dans mon cas sachant que je souhaite enterrer (au moins partiellement) le bassin des poissons.

    Merci encore pour vos explications !

    • jcgoudeau

      Oui, le niveau d’eau ne descend jamais en dessous de la cote +8. En pratique cette cote n’est jamais atteinte sauf en cas de très grand manque d’eau ou de panne de pompe.
      Lorsque le filtre à gravier est juste nettoyé, la cote varie entre +10 et +11 selon le niveau de vidange du bac de culture.
      Lorsque le filtre à gravier arrive à saturation, au bout de 10 à 20 jours de fonctionnement, la cote varie ente +15 et +16. Cette cote de +16 ne sera jamais dépassée car le débordement du seau² contenant les graviers provoque un déversement direct dans le bac tampon.

  5. Maxime T

    Bonjour,

    Je dévore goulûment les différents articles de votre blog en prévision de la réalisation de mon premier système. Il sera bien entendu bien plus modeste que le vôtre, mais je suppose qu’il évoluera par la suite… Bref, toutes mes félicitations pour votre ingéniosité !

    Je me permets de vous poser une question un peu idiote : après avoir mûrement réfléchi, j’ai choisi « d’imiter » votre architecture dans la disposition des bassins : écoulement par gravité du bassin des poissons vers les filtres, puis vers le bassin-tampon où se trouvera la pompe.

    Je m’interroge concernant la manière d’organiser la sortie de l’eau du bassin des poissons. Je comptais au départ mettre la sortie au « sommet » du volume (un peu moins de 1.000 litres) afin de garantir un volume d’eau constant chez les truites. Cependant, je me dis que, avec un système aussi simple, l’eau ne sera pas vraiment « remuée » en profondeur, et je crains de ne sortir qu’une eau « légère », tandis que les déchets produits par les poissons s’accumuleront plus bas.

    Dans votre bassin, le tuyau de sortie va chercher l’eau assez bas (et j’ai lu quelque part que vous comptiez encore le descendre). Comment l’écoulement se déroule-t-il avec cette configuration ? Le bassin se vide-t-il comme avec un siphon en U ? Ou le niveau d’eau se maintient-il simplement au niveau supérieur de l’évacuation ?

    Merci d’avance pour votre réponse.

    • jcgoudeau

      Bonjour Maxime,
      C’est une question très intéressante. Et c’est un point que j’avais traité un peu au doigt mouillé lors de la conception. Or la gestion des niveaux ne supporte aucun à peu près, et c’est difficile de tout simuler sans se tromper. On découvre les imperfections lors de la mise en eau; Imperfections qu’il est plus ou moins facile de corriger. C’est pourquoi je vais prendre le temps de mettre au clair le détail des niveaux et des débits qui fonctionnent sur l’installation actuellement, intégrant les quelques corrections de la première année. Je reviens vers vous dès que le schéma est prêt.

    • jcgoudeau

      J’ai modifié l’article en ajoutant un paragraphe sur les cotes du système. Je ne prétends pas que ce soit la meilleure organisation. Mais c’est celle que j’utilise et qui fonctionne. L’évacuation de l’eau des bassins à truites doit être réalisée à partir du fond pour aspirer les fèces. Cette cane ne fonctionne pas en siphon : elle est ouverte au sommet pour permettre l’évacuation d’éventuelle bulle d’air et surtout éviter un amorçage du siphon. Tout fonctionne par écoulement gravitaire grâce aux légères différences de niveau.

  6. Honorine

    Bonjour !
    J’ai dévoré les informations que vous avez publié. Dans un pays sahélien comme le mien, l’aquaponie devrait à mon humble avis être de mise. Nous avons des contextes climatiques différents certes, mais le maître mot commun étant l’économie de l’eau et de l’énergie ainsi que le respect de l’environnement, je voudrais cheminer avec vous.
    Poissons chats et tilapia sont élevés chez nous et les mêmes légumes sont cultivés sous serre toute l’année.
    Je commence avec deux bacs de 1m3 avec des laitues choux fleur et brocolis.
    L’objectif est de maîtriser le système avec votre aide et de former des jeunes et des femmes pour dupliquer le système dans leurs régions.
    A bientôt pour les questions.

    • jcgoudeau

      A votre écoute pour partager les savoirs et les expériences.

  7. Carolle

    Bonjour très beau projet. Quel est la densité en poisson de vous 2 bassin?
    Et la surface de culture ?

    • jcgoudeau

      Bonjour, la densité va de 5 kg par m3 d’eau de bassin au démarrage d’un lot en janvier février, jusqu’à 17 kg par m3 de juillet à décembre. La densité épouse les besoins en nitrates des plantes cultivées sur 10 m2.

  8. Vincent

    Bonjour,
    quel type de plastique est utilisé pour la bâche d’étanchéité? est-ce un plastique spécial « alimentaire »?

    Merci

    • jcgoudeau

      Une bache PVC pour bassin. Je n’ai pas fait l’investissement sur de la bâche plastique alimentaire.

  9. Bruno

    Bonjour,
    Votre projet est très intéressant sur beaucoup d’aspects.
    Le syphon, le nourrissage des poissons, etcétéra
    Continuez dans ce sens, beaucoup de gens (y compris moi) sont en demande d’information,
    Bruno

    • jcgoudeau

      Merci Bruno pour ce retour. Le suivi du projet est prévu au moins jusque fin 2020 pour raconter les réussites et les déboires.

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